Betclic mise sur la compétitivité de son offre pour l’EURO 2016 de football

Numéro 1 des paris sportifs en France avec 25% de parts de marché et 300.000 joueurs actifs, Betclic, dont 60% des mises sont réalisées sur mobile, est prêt pour l’EURO 2016 de football, à l’occasion duquel l’opérateur a mis en place un dispositif de grande envergure.

Alors que l’EURO 2016 de football se profile à l’horizon, Betclic présente son plan d’actions pour la compétition. Une compétition sur laquelle l’opérateur compte beaucoup pour attirer de nouveaux joueurs grâce à ses cotes et à Colussus Bet, une exclusivité sur le marché français permettant de gagner jusqu’à dix millions d’euros. Betclic, qui espère recruter 100.000 nouveaux joueurs pendant l’EURO 2016, estime d’ailleurs que les 51 matchs de la compétition généreront les trois quarts des mises de ses joueurs sur la période, confirmant ainsi la domination sans partage du ballon rond sur les autres spots. « L’EURO 2016 est un temps fort pour notre activité. Notre objectif est clair en tant que leader du marché : séduire de nouveaux clients et proposer l’offre de paris en ligne la plus attractive. Nous espérons dépasser les 50 millions d’euros de mises pendant l’EURO », a indiqué Marc Guigo, Directeur de Betclic.fr, lors de la présentation du dispositif EURO 2016 de l’opérateur de paris sportifs à la presse.

La compétitivité, atout numéro 1 de Betclic

Betclic s’appuie en outre sur une stratégie d’attractivité afin de générer de la préférence de marque auprès des parieurs, en communiquant sur le fait que son site offre les meilleures cotes sur les principales compétitions de football, de basketball et de tennis. En effet, l’étude de compétitivité des bookmakers menée par SportLab sur le marché français du 4 avril au 28 mai 2016, révèle que Betclic a proposé dans 63% des cas les meilleure cotes « prelive » football et basketball en avril et en mai devant Winamax (57%) et Unibet (35%).

Un plan média à 360°

Betclic n’a pas attendu le coup d’envoi de l’EURO 2016 pour communiquer autour de la compétition. En effet, l’opérateur de paris sportifs en ligne a lancé sa pré-campagne dès avril, en diffusant trois des cinq spots de sa nouvelle campagne intitulée « Quand on gagne, on gagne ». Pendant la compétition, deux nouveaux films seront diffusés sur les chaines nationales, câblées, spot et TNT ainsi que sur RMC. En outre, la marque parrainera l’émission « 100% EURO : l’avant-match », diffusée sur M6 pendant la compétition, ainsi que tous les magazines football de BeIN Sports. Cette campagne TV et radio sera accompagnée d’une dispositif Internet puissant.

Betclic profitera également de l’EURO 2016 pour lancer Colossus Bets, uen exclusivité produit sur le marché français. Véritable concurrence aux offres de lotos sportifs, Colossus Bets s’appuie sur une mutualisation de masses avec douze opérateurs internationaux. Pour l’Euro, Betclic offrira la possibilité de gagner de 2.000 euros à 10 millions d’euros de gains avec des formats de grilles variés. « Nous opérons un plan média à 360° avec une forte visibilité en TV & radio, sur le web et les réseaux sociaux. En tant que leader, nous mettons tout en œuvre pour séduire de nouveaux parieurs, passionnés de foot, et leur donner envie de choisir Betclic », a déclaré de son côté Sabrina Ben-Yellès, Directrice Marketing de Betclic.fr.

#Backin98 pour retrouver les bons pronostiqueurs de la finale de 1998

18 ans après le sacre des Bleus face au Brésil au Stade de France, Betclic a décidé de partir à la recherche des personnes qui avaient pronostiqué le bon résultat de la finale de la Coupe du Monde de football de 1998 en lançant un appel national via le hashtag #Backin98 sur les réseaux sociaux, et a mis en place une plateforme dédiée, permettant de réunir toutes les preuves permettant de prouver de sa bonne foi. Le jury, composé de Sonny Anderson, de Marcel Desailly, de Nicolas Mure (Next et Eurosport), de Julien Pauleto (PKFoot) et d’Emilie Ross (#meufdefoot) a sélectionné les cinq gagnants, qui se sont partagés la somme de 100.000 euros, dont la moitié a été empochée par le vainqueur. Un moyen de récompenser les bons pronostiqueurs qui n’avaient pas pu parier en ligne à l’époque, les paris sportifs en ligne n’ayant été autorisés qu’à partir de juin 2010, mais également de toucher de manière décalée plus de six millions d’internautes.